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 mastema . il faut bien punir

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Mastema Prendergast

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Mastema Prendergast



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MessageSujet: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 20:06


“ Mastema Zarathushtra Prendergast ”

NOM Son nom, dans cet univers, est Prendergast. Il l’a choisir en l’honneur de son artiste favori, l’aquarelliste Maurice Brazil Prendergast. Le nom de naissance de Mastema est Herczog-Meszaros. Le jeune brun a trouvé plus approprié de se renommer en arrivant ici, abandonnant toutes ses fripes terriennes. Tout du moins, tout ce qu’il pouvait : lui reste sur sa peau ses tatouages et dans son âme, son passé de terrien. ✩ PRÉNOM Mastema et Zarathushtra sont les deux prénoms qu’il est choisi. Le premier est celui, dans la religion hébraïque, d’un ange ayant pour tâche de tester la vertu des Hommes. Sous ses ordres se trouvent des démons, qui l’aident à exécuter sa mission et son nom veut dire hostilité, ou persécution. Quant à Zarathushtra, ce fut le nom d’un prophète qui opposait le bien au mal et prêchait la morale. Ses véritables prénoms, donnés par ses géniteurs, sont Joseph et Lauritz. ✩ SURNOM Il n’a pas de surnom. Même pendant son enfance, Mastema n’en avait pas ; et il n’a jamais accompli quelque chose d’assez grand pour mériter des épithètes qu’ont certains héros comme, le légendaire ou l’effroyable. Mastema est Mastema ce qui, quand on regarde de plus près, est finalement un surnom. Il se l’est choisi et le fait passer pour son prénom. ✩ DATE DE NAISSANCE Mastema est né le 9 septembre 1950. Vingt-sept années physiquement, mais soixante-quatre véritablement – Mastema est arrivé au royaume de O’Hara à l’aube de ses vingt-trois ans. Cela fait donc quarante-et-un ans que le jeune homme arpente les paysages du livre. ✩ LIEU DE NAISSANCE Il est né dans un lieu-dit, perdu dans les terres canadiennes, dans la maison familiale. Autant dire que le jeune homme est né nulle part, au milieu de rien. Il a été naturalisé américain à ses dix-huit ans. ✩ STATUT CIVIL Veuf, pour avoir désobéi aux règles que lui imposaient le contrat, l’américain a décidé de rester à présent célibataire, bougeant trop pour s’accrocher et trop effrayé pour se tourner vers qui que ce soit. ✩ ORIENTATION SEXUELLE Mastema est hétérosexuel, point de doute sur cela. Il a toujours et sera toujours attiré, uniquement, par les femmes. Même si un jour, il se retrouvait transformé en l’une d’elles. ✩ PROFESSION Le jeune homme a exercé de nombreux métiers durant sa vie – scribe, bucheron, apprenti médecin, paysan… mais un seul lui convient véritablement : saltimbanque. Toujours sur les routes, Mastema gagne sa vie en chantant des histoires, bien qu’il lui arrive d’exercer d’autres métiers pour mettre du gras sur son pain dur. ✩ VENU ICI PAR Par choix bien que ses facultés à contracter, sur le moment, étaient partielles. Mais il ne le regrette pas : c’était cette vie sous l’emprise d’Elizabeth, ou la mort par les balles. ✩  CARACTÈRE Mastema est quelqu’un de renfermé et de pensé. Agir sur le moment n’est pas son fort, ce qui fait de lui un mauvais soldat mais un excellent tacticien. Créatif et perspicace, il sait faire avec quelques bouts de bois, une pierre et une corde un piège. Possédant de nombreuses connaissances, Mastema trouve toujours un moyen d’échapper aux situations difficiles, même si cela est la fuite. Ce n’est pas quelqu’un d’intrépide. Instinctif, il lui arrive de ressentir de la peur, de l’aversion sans pouvoir en définir la cause. Possédant une grande force physique en plus d’une haute stature (un mètre quatre-vingt-cinq) et des particularités physiques rarement croisées, Mastema est souvent isolé par ses pairs et ne s’en plaint pas. Intrinsèquement pragmatique et utilitaire, le jeune homme ne va pas vers autrui sans penser qu’il peut tirer quelque chose de cela que ce soit des connaissances, des relations, un service ou autre. Ainsi, il n’hésite pas à demander de l’aide à ceux qui lui sont antipathique, s’il s’avère que ce sont les personnes qui pourront le mieux répondre à sa demande. C’est quelqu’un qui change facilement d’alliés et qui n’hésite pas à trahir ceux qui le pensaient ami, si cela peut le servir. Avec lui, tout a un prix. Agile, il aime traîner sur les marchés pour voler quelques fruits quand il est dans le besoin, ou quelques pièces s’il le peut. La morale, tout comme la loyauté, ne l’étouffent pas. Bon orateur, il arrive à, de quelques jolis mots, se sortir de situations délicates – tant que les mains ne sont pas employées. Mastema possède une grande force physique mais n’est pas assez agressif pour aimer se battre poings contre poings (mais c'est un excellent archer). Il arrive que l’américain se montre blessant par son comportement, pensant bien trop souvent à lui avant autrui, ce qui évidemment lui attire des ennuis. beaucoup le jugent irresponsable, insouciant, sans connaître les maux, les pensées sombres, les responsabilités qui l'accablent et qu'il cache derrière sourires et humour. ✩ VOTRE GROUPE Casse-bonbon. ✩ CÉLÉBRITÉ Stephen James.


I. LES QUESTIONS DU ROI
Pour quelle raison vous vous retrouvez dans le royaume de O'Hara › C’était la seule façon qu’il avait de fuir, de s’échapper. C’était son seul espoir de retrouver une vie paisible, malgré les clauses abusives du contrat que lui proposait Elizabeth Hopkins. Mais quand le jeune américain a passé le contrat, une vie de soumission, sans liberté de geste ou d’amour lui semblait bien plus attrayante que la guerre. Mastema est un rescapé de la deuxième guerre d’Indochine. Ou plutôt, un déserteur.

De quel œil voyez-vous Elizabeth Hopkins › Mastema la hait tout comme il l’adore. Sa relation envers la sorcière est complexe : elle lui a offert une nouvelle vie, à des conditions qui le poussent à la misère. Tout du moins, il la tient responsable de ses maux, sans avoir la preuve qu’elle en est bien l’auteure. Mais il ne peut maudire Elizabeth Hopkins pour ce qu’elle lui a fait : il a signé de lui-même le contrat et valait-il mieux qu’il meure ? L’américain lui doit la vie et ne peut oublier ce fait. Ainsi évite-t-il de l’insulter, sans pour autant l’adorer. Mastema adopte envers elle une posture humble, espérant sa clémence.

Depuis combien de temps êtes vous ici › Quarante-et-une année. Et pour commencer cette nouvelle décennie, Mastema a décidé de partir sur les routes après avoir vendu les biens qu’il possédait, ne gardant que quelques vêtements et une monture pour tous bagages. Cela fait plus d’un an que le châtain sillonne les chemins,  à la recherche d’un endroit où il pourra vivre sans inquiétude quelques années, avant de repartir à l’aventure. Pour survivre, Mastema offre ses services en tant que scribe, parfois s’arrête quelques semaines pour gagner son pain en tant que bucheron, foulon, semeur ou autre. Polyvalent, il sait se rendre utile. Il attire souvent les foules en proposant, pour 20 cents, de dessiner à la plume le portrait de qui le désire. Il sait aussi chanter et jouer du psaltérion.

Votre impression sur le royaume › L’ignorance de ce monde convient parfaitement à Mastema. Cette absence de rationalité, de connaissances techniques sied au jeune homme. Cela lui a permis de valoriser ses savoirs : le simple fait qu’il sache lire, écrire et compter fait de lui un individu éprouvé. Par ce fait, le terrien a réussi à s’offrir une vie aisée et un renom qui lui apporte respect et honneurs. Mais cela a sa part sombre : l’inintelligence qui règne, comme une cloche de fer sur le peuple de ces terres, accepte difficilement les différences de l’américain. Ces visages qui se dessinent sur ses bras, ce crâne stylisé dans son dos… Il effraie. Mastema n’est pas d’ici, il ne peut le cacher. C’est même publiquement reconnu : son physique et ses mœurs sont intrinsèquement différents de ceux des natifs des lieux. De plus, sa force physique, quasiment légendaire, fait courir sur son compte les rumeurs les plus abasourdissantes. Mastema, pour éviter de trop échauffer les foules par sa présence, ce qui pourrait le conduire au bûcher, se retrouve donc souvent sur les routes. Ainsi, il maintient ses mystères et se fait oublier, aussi vite qu’il se fait connaître.


II. LE RÉCIT DE VOTRE VIE
Joseph. Dans cette autre vie, il était Joseph. Il était le fils de réfugiés juifs hongrois, qui pendant la Seconde Guerre Mondiale avaient fui leur pays. Ils avaient quittés leur pays en mars 1944, aux débuts de l’occupation allemande, échappant ainsi aux déportations vers les camps de la mort. Derrière eux ils laissaient Budapest, où tous deux étaient nés. Mais aucun regret ne les habitait : sous prétexte de leur religion, on leur avait tout volé. Et il était hors de question qu’on leur retire la seule chose qu’on leur avait laissée : la vie. Ils s’en allèrent d’abord vers l’est, pensant trouver en URSS une protection. Mais ils se rendirent compte que ce pays, ravagé par la guerre et malnutri par ses idéaux, ne serait jamais la terre d’accueil qu’ils recherchaient. L’antisémitisme là aussi régnait – il leur fallait cacher, encore, leurs signes religieux, et inventer un mensonge pour justifier leur départ de Hongrie. Ils longèrent la frontière sud de l’URSS, profitant que le printemps faisait germer les champs et mûrir les fruits pour se nourrir, et que les nuits étaient assez douces pour qu’ils puissent s’endormir, cachés dans les bergeries ou les feuillus bosquets.

Frida et Sandor (c’était leurs noms) étaient jeunes, vigoureux et inventifs. Il leur fallut malgré tout cinq mois pour traverser l’URSS : ils ne pouvaient pas faire demi-tour par l’Europe, occupée par l’Allemagne. C’était donc, sans autre solution, qu’ils s’étaient dirigés vers les pays d’Asie. Ils virent le Kazakhstan, la Mongolie et la Chine et se retrouvèrent, de nouveau, nez-à-nez avec les forces de l’Axe. Que devaient-ils faire ? Rester en URSS et craindre autant de maux qu’ils n’en avaient craint en Hongrie ? Partir plus au sud, vers l’Inde ? Une solution leur vint : partir tout au nord de l’URSS, pour rejoindre, via le détroit de Béring, les Etats-Unis. Le temps qu’ils rejoignent ce point de passage, l’hiver serait là. Mais sur leur route, ils se rendirent compte que cela était impossible : la pointe orientale de l’URSS n’était pas accessible par voie terrestre, ce qui leur compliquait la tâche. Exténués, sans connaissances ni métiers, Frida et Sandor se retrouvaient bloqués. En février 1946, ils apprirent la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Ils s’étaient installés dans la région iakoute et avaient proposé leurs bras à des éleveurs de rennes, contre un toit et le souper. Coupés du monde, mélangés à une autre minorité elle aussi persécutée, les deux hongrois oublièrent leurs peines – momentanément. La vie était difficile. C’était des gens de la ville, que les travaux des champs exténuaient bien plus qu’ils ne le devaient. Et le régime politique, de plus en plus dur, qui prônait la destruction des pratiques et mœurs régionales au profit d’une unité de la population, leur rappelait trop bien l’occupation de la Hongrie par l’Allemagne. Toujours devaient-ils se cacher et encore volait-on le résultat de leur labeur. Le rêve de partir pour l’Amérique du Nord était toujours dans leur cœur. En 1948, alors que la Guerre Froide s’installait et que le Rideau de Fer tombait, Frida et Sandor réussirent à se frayer un chemin vers le rêve américain.

Contre toutes leurs possessions, le couple s’était acheté un ticket sans retour vers un autre continent – et cette fois, ils espéraient que ce serait le bon. Passer les gardes fut difficile, mais trouver un refuge plus encore. Les maisons étaient espacées les unes des autres et leur statut d’immigré illégal faisait que les portes restaient fermées. Ce n’est qu’après avoir passés une nuit dehors, à marcher dans la neige, qu’ils trouvèrent une bâtisse encline à les aider. Il s’agissait d’une famille d’autochtones, qui faisait passer avant la peur des sanctions étatiques le fait d’aider son prochain. Néanmoins, cela laissa des séquelles sur le couple, en particulier sur Sandor. Des gelures à ses pieds, le rendirent, par la suite, incapable de marcher convenablement et Frida, par la suite, développa une bronchite chronique. Ils restèrent chez leurs sauveurs quelques mois, avant de se décider à partir plus au sud, espérant atteindre une grande ville et trouver du travail.

Frida tomba enceinte alors qu’ils étaient au Canada. Une nouvelle inattendue, mais bienvenue. Jusque-là, la hongroise était restée sans enfants. La pauvreté de sa vie avait affaibli son corps, à un point qu’il ne pouvait pas former le moindre embryon. Enfin, à trente-et-un an, elle allait donner la vie. De plus, leur situation semblait stable : Sandor, malgré son handicap, exerçait le métier de bucheron. Il avait même pu acheter une chèvre et deux poules, dont son épouse s’occupait. A la nouvelle qu’il allait être père, il acheta trois jeunes cochons. Joseph naquit alors dans un environnement sain, qui ne trahissait aucunement les mésaventures de ses parents.

Frida et Sandor n’eurent aucun autre enfant. Déjà, Frida perdit toute envie sexuelle après l’accouchement et la fragilité du nourrisson les fatigua tant qu’ils n’eurent aucune envie de retenter l’expérience. Joseph n’était pas bien solide, tout du moins à sa naissance : dès les premières semaines, il attrapa une toux que, encore aujourd’hui, il a. Une toux ressemblant à celle de sa mère. Une bronchite chronique. Par peur de perdre leur fils, les deux parents le couvèrent énormément. Au courant de tous les dangers du monde, ils ne pouvaient le laisser aller plus loin que ne pouvaient aller leurs yeux. Mais la soif de savoir, la curiosité de l’enfant l’envoyait toujours courir les bois, désobéissant aux ordres de ses géniteurs. Néanmoins, ces derniers ne purent rien faire pour le garder près d’eux, quand il fut en âge de s’en aller à l’école.

Joseph devait, chaque matin et chaque soir, faire une heure et demie de route à pied pour rejoindre le village où, dans l’église vide, s’installait en semaine l’école. Mais cela ne dérangeait pas le châtain : son besoin de connaissances faisait de lui un élève apprécié et, de loin, le meilleur. Scolaire, appliqué, raisonnable, Joseph avait toutes les capacités que se doit de posséder un étudiant. Il allait souvent faire du porte-à-porte pour demander des livres à lire et les dévorait tous : qu’importe leur sujet ou le niveau de vocabulaire. Le plus beau cadeau qu’on lui fit fut un dictionnaire, qu’il feuilleta de A à Z un nombre incalculable de fois, émerveillé par les connaissances qu’il renfermait. Mais le livre qui lui plus le plus fut un guide touristique, complet, de New-York. Ces hautes tours, ces individus bien habillés, ces musées, ces écoles prestigieuses… ces bars musicaux, ces hommes d’affaires, ces entreprises possibles… Joseph rêvait d’y aller. Il ne cessait d’en parler. Mais ses parents, eux, avaient abandonnés depuis bien longtemps l’idée d’un jour de rendre aux Etats-Unis. Ils s’étaient enracinés au Canada et avaient laissés derrière eux leurs vies de nomades. De plus, aucunement enregistrés auprès de l’état civil, en situation illégale, ils ne pouvaient quitter le pays. Par peur d’être découvert, ils n’avaient pas même déclaré la naissance de leur enfant. Ce dernier se voyait donc condamné à vivre dans les régions reculées du Canada – une chose qu’il ne pouvait accepter. Il voulait vivre. Joseph avait été, toute son enfance, bercé par les histoires de ses parents et les livres qui entre ses mains passaient.

A seize ans, il décida de prendre la route. Il en parlait depuis longtemps, mais la réticence de ses parents l’avait retenu jusque-là. Toutefois, à présent, Joseph se considérait comme un homme : ses muscles saillaient et son menton se couvrait de poils. Il était devenu bien grand et n’avait plus rien de l’enfant maladif d’autrefois, bien qu’il continuait d’avoir des quintes de toux. Le châtain promit à ses parents qu’il n’irait pas loin, qu’il ne franchirait pas les frontières canadiennes. Qu’il leur enverrait des lettres et passerait chez les amis d’amis. Mais ce n’était que des mensonges. Son départ fut la dernière fois que ses parents le virent. Il leur envoya par la suite quelques lettres, mais rien ne dit qu’elles sont parvenues à ses parents. Il ne passa jamais chez les amis d’amis et quitta le Canada. Joseph voulait voir New-York. Alors, il se rendit à New-York.

Il n’avait pas grand-chose sur le dos et quasiment rien en poche. Mais des rêves plein la tête. Franchir la frontière ne fut pas difficile, elle était bien moins surveillée que les frontières maritimes et celle partagée avec le Mexique. Il rejoignit New-York en faisant de l’auto-stop, ce qui lui permit de, pour la première fois de sa vie, monter dans des véhicules motorisés. Mais une fois sur place, sa bêtise lui revint en pleine face : il n’avait pas le moindre sous pour pouvoir se loger. Pour pouvoir boire dans les bars ou visiter les musées. Pire encore, Joseph n’avait que seize ans et était sans papiers.

Heureusement, New-York était déjà, à l’époque, une ville fourmillante et entreprenante. Contre les deux tiers de ce qu’il gagnerait, il trouva un métier : il loua une boite de cirage auprès d’un homme dont l’activité était d’exploiter les plus pauvres et se mit à arpenter les rues, à la recherche de chaussures qui avaient besoin d’être polies. Ce qu’il amassait chaque jour était à peine suffisant pour couvrir ses frais de nourriture. L’immigré fut alors contraint de vivre dans la rue un moment. Et il était hors de question de retourner au Canada. Ce ne fut qu’à ses dix-huit ans qu’une solution se proposa à lui : s’il rentrait dans l’armée, on régulariserait sa situation. Depuis 1954, les Etats-Unis étaient entrés en guerre au Viêt-Nam et la situation ne s’arrangeait pas. Chaque jour devaient être envoyés au front de nouveaux soldats, de plus en plus jeune. L’âge médian de ces jeunes hommes, envoyés à leur mort, était dix-neuf ans. Toutefois, c’était une proposition inespérée pour Joseph. Il allait, ainsi, pouvoir faire partie de la société américaine – le rêve inavoué et jamais achevé de ses parents. Il allait pouvoir trouver un meilleur travail et certainement que son passé de soldat le légitimerait aux yeux des américains. De plus, le jeune homme avait l’impression d’avoir tout vécu et que rien de pire ne pouvait lui arriver. Il avait abandonné ses parents, auxquels il avait menti. Il avait erré dans les rues, sans savoir où il dormirait la nuit venue.

Sa bronchite chronique ne l’empêcha pas de devenir soldat et lui fut remis un uniforme, ainsi que la citoyenneté américaine. Puis, le lendemain, il embarquait pour le Viêt-Nam. Sa surprise fut grande quand on sa garnison débarqua sur une plage, moite et chaude, où s’était installé un camp militaire américain. Il semblait n’y avoir aucun danger. Des soldats jouaient aux cartes et des plaques de chocolat, ainsi que de la bière, circulaient. Etait-ce cela, la guerre ? Les premières semaines de son service furent les plus belles qu’il eut jusque-là alors. Joseph prit du poids, s’épanouit. Il se fit des amis, que ses connaissances intéressaient. Puis, il comprit l’horreur de cette guerre : ceux qui partaient ne revenaient jamais et le fait d’attendre, sans avoir rien d’autre à fait, finit par l’oppresser. L’opposition jamais n’attaquait. Elle attendait que les soldats se perdent dans la jungle, puis les piégeait. Nombre d’américains n’avaient jamais vu une jungle. Le châtain faisait partie ceux-là. Tout ce qu’il avait jusque-là connu était des forêts de conifères et la neige. Ici, dans ce pays exotique, la chaleur l’accablait. Les animaux étaient étranges, ainsi que les plantes. Joseph comprit qu’il ne savait rien du monde et qu’il lui restait encore énormément de choses à visiter. Aussi, les récits de voyages dans des contrées lointaines de ses collègues le faisaient frémir d’envie. C’est là qu’il prit connaissance de la légende d’Elizabeth Hopkins. Autour d’un feu, après quelques bouteilles d’alcool vidées. Cette possibilité de passer dans un autre univers les avait fascinés, jusqu’à ce que le matin arrive, chassant la magie de la nuit. C’était impossible. Ce n’était qu’une légende.

Pendant trois ans, Joseph resta à cette base, sans avoir rien à faire d’autre que boire, jouer aux cartes et s’entraîner. Il forma là la musculature de son corps, qu’il décora de tatouages. Un tatoueur était présent, parmi les soldats. Il avait pris avec lui son aiguille et ses encres faites de métaux lourds. Le plus souvent, on lui demandait des pin-up sur les biceps, des requins ou des phrases signifiant leur engagement dans la guerre du Viêt-Nam. Les plus inquiets se faisaient tatouer leur nom et prénom, pour qu’on puisse retourner leurs corps si jamais on les retrouvait morts, défigurés et sans plaques. Ce qui arrivait souvent. Une fois qu’un soldat était envoyé dans la jungle, ses chances de revenir étaient bien maigres. Mais Joseph, lui, préférait qu’on remarque sur son épiderme ce qu’il était : un homme cultivé, avide de connaissances et de voyages. Plutôt que des femmes stylisées, à la belle poitrine et aux hanches fines, le jeune homme préféra des visages réalistes, représentant de grandes personnalités du monde. Dali, la reine d’Angleterre. Aussi, des symboles ayant traits à ses racines, reflétant ses origines juives,  ainsi que des décorations exotiques. Un lotus sur le cou, un crâne orné dans le dos. Le tatoueur se prêtait volontiers aux caprices de Joseph. C’était pour lui un exercice nouveau et il se mit à voir son camarade d’infortune comme son œuvre la plus réussie.

Hélas, les beaux moments ont une fin. Finalement, leur tour de s’enfoncer dans la luxuriante végétation du Viêt-Nam vint. Ils avaient presque oubliés leur devoir de soldat et s’ils étaient partis le menton haut, prêts à mourir, ils avaient à présent peur de perdre la vie. Joseph s’était trouvé un nouveau but. Il voulait voir le monde, et bien plus encore. Il ne voulait plus servir l’Amérique guerrière, mais on l’y forçat. Les premiers mois ne furent pas difficiles, car ils restaient assez près des côtes. Mais plus ils s’enfonçaient, plus les risques s’élevaient. Rapidement, le bataillon fut réduit à sa moitié. Puis, après une lutte contre le Viêt Cong, il ne resta plus qu’un tiers des effectifs. Tout cela en moins d’un an. Alors, la compagnie de Joseph fut brassée avec une autre, qui avait déjà été brassée une dizaine de fois. Il y avait des vétérans, aux conseils avisés et des tous nouveaux, terrorisés. C’est là que le châtain fut confronté aux pires horreurs de la guerre : les corps déchiquetés, les pillages, les viols, les meurtres sans buts. Le massacre entre deux peuples. Cela lui rappelait les atrocités que ses parents avaient vues et lui avaient rapportés, pour le mettre en garde contre la haine que portait en son sein chaque individu. En voyant ses camarades, ses amis se transformer en monstres, Joseph eut l’impression de, par extension, n’avoir lui-même plus rien d’humain.

C’est quand ils ne se retrouvèrent plus qu’à trois que l’histoire d’Elizabeth Hopkins lui revint en mémoire, alors qu’il tenait entre ses bras la carcasse mourante de la personne qui la lui avait racontée. Une mine avait emporté son pied, il se vidait de son sang. Joseph, alors, pour le rassurer et lui faire oublier la guerre, s’était mis à lui réciter son histoire. Et appuya fortement sur la formule censée faire apparaître la sorcière. Ah, si son existence pouvait être vraie ! Si vraiment elle pouvait leur permettre de quitter cette terre de guerre ! Et c’est alors là que quelque chose lui dit de fouiller dans la poche droite de son treillis. Là il découvrit une feuille. Un contrat, signé tout en bas par Elizabeth Hopkins. Celui qui l’avait tatoué, qui se tenait à sa droite et ne cessait de tirer dans le vide, apeuré, fit les yeux ronds et lui dit qu’il ne fallait pas signer cela. C’était de la sorcellerie, une diablerie ! Mais c’était leur porte de sortie, pour fuir loin d’ici… faute de crayon, Joseph prit son doigt, le baigna dans un peu de sang de son ami mourant et apposa son empreinte en bas de la page. Il fit de même pour l’estropié, espérant que cela pourrait le sauver et, les yeux brillants, regarda celui qui lui avait demandé de s’abstenir de commettre un tel geste. Ils entendaient leurs ennemis progresser. Leurs coups de feu se faisaient plus proches. Les fourrés, tout autour d’eux, tremblaient. Ils étaient seuls, ils allaient mourir. Ou être faits prisonniers, ce qui n’était pas mieux. « Signe » tonna Joseph, désireux de sauver son camarade, de l’emmener avec lui dans un monde qui ne pouvait être que meilleur. Il n’avait lu que rapidement les clauses du contrat et, bien qu’elles lui semblaient injustes, elles ne l’étaient pas autant que l’idée de mourir, là, à vingt-trois ans. Terrorisé, sans plus aucune balle dans son arme, le troisième soldat glissa son doigt dans la boue et apposa, à son tour, son empreinte sur le parchemin maudit. Aussitôt, ils eurent l’impression, tous trois, de mourir.

Mais un seul décéda. L’amputé ne résista pas bien longtemps. Le temps que ses deux camarades retrouvent leurs esprits et leurs repères et se mettent en quête d’une aide quelconque, le soldat était mort. Ils portèrent malgré tout son cadavre jusqu’au village le plus proche, où on leur indiqua où trouver le fossoyeur. Puis ils dépensèrent quelques pièces que le contrat leur avait donné pour une chambre dans une auberge. Sonnés, déstabilisés, les deux soldats ne prirent conscience de leur acte qu’à leur réveil. On si peu de temps, leurs vies venaient de changer de direction. Ils repassèrent aussi le contrat qui était resté dans la poche de Joseph et en étudièrent les conditions, qui les épouvantèrent. On leur refusait l’amour et la liberté d’agir… est-ce que vivre ainsi était possible ? Incapables de quoi que ce soit pendant quelques jours, il fallut que l’aubergiste les mette à la porte, parce qu’ils n’avaient plus d’argent pour payer, pour que les deux terriens ne tentent de se reprendre en main. Et, parce que la vision de l’un et de l’autre leur rappelait leurs erreurs et leur ancienne vie, ils décidèrent de se séparer.

Joseph partit, alors que son camarade se mit à chercher un travail dans le village où ils s’étaient arrêtés. Le châtain avait, comme toujours, envie de découvrir les secrets du monde qui l’entourait. Ce n’était pas son premier voyage et il espérait que ce ne serait pas son dernier. Il remarqua rapidement, qu’ici, les gens étaient plus habités aux personnes errantes que sur Terre. On lui ouvrait plus volontiers la porte, on lui proposait plus souvent un morceau de pain. On lui demandait où il allait, quel pèlerinage il accomplissait. Les discussions qu’il eut sur sa route lui apprirent bien des choses. Il était dans le Royaume de O’Hara, en 1172. C’est une période calme – le pays n’a pas connu de guerre depuis environ dix ans. Un roi, Oswin, gouverne de vastes terres depuis 1118… ici, les gens vivent plusieurs siècles. Il rencontra aussi d’autres terriens, d’époques différentes. Et des personnes étranges, munies de pouvoirs. Deux ans après son arrivée dans le Royaume de O’Hara, l’américain se fit mordre alors que, faute de toit, il s’était endormi à la belle étoile. Il n’était encore qu’un voyageur, bien trop curieux de tout pour pouvoir s’installer quelque part. C’était dans un marais sombre, vers le Royaume de Thalemlos, côté ouest. Une bête l’avait pris en chasse et, armé uniquement d’une courte lame, Joseph n’avait pas pu faire grand-chose pour éviter d’être blessé. Il fut mordu à l’avant-bras gauche et au flanc gauche, avant de réussir à asséner planter sa lame dans le cou de la bête. Et alors qu’elle hurlait de douleur et fureur, il s’enfuit aussi loin qu’il le put – à une centaine de mètres, seulement. Terrorisé et blessé, Joseph ne pouvait faire autrement que courir dans de bois, à la lueur de la pleine Lune. Il trébucha et perdit connaissance, après que sa tête eut heurté le sol.

Il se réveilla dans un temple, où des frères s’étaient retirés, pour servir pleinement les Trois Frères. On l’avait porté ici, après qu’un des religieux ne l’ait trouvé alors qu’il était parti chercher des champignons. Ses blessures étaient certainement l’œuvre d’un chien soldat : la contrée où il s’était échoué était connue pour avoir, pendant la guerre contre le Royaume de Gheimhridh, élevé des chiens, grands comme un homme, capables de se battre contre ces derniers. Ils étaient alors munis d’armures de cuir souple et avaient le goût du sang. On disait que certains, qui s’étaient enfui, étaient encore en vie et s’étaient reproduit. Ainsi on expliquait les accidents regrettables qui se produisaient dans les environs. D’ailleurs, Joseph n’avait pas été la seule victime, cette nuit-là. Non-loin de son corps, on avait retrouvé le cadavre d’une jeune femme, gorge ouverte. Ce rapport fit se nouer la gorge de l’américain : il se souvenait clairement avoir planté sa lame dans la carotide de quelque chose. Il demanda si la blessure était celle de crocs, mais on lui répondait que cela était plus similaire à un coup de griffe, qui aurait été tranchante comme une lame. Mais aucune lame n’avait été trouvée.

Le jeune homme avait déjà entendu parler de sirènes et sorcières, ainsi que de dragons et loup-garous. La pensée d’en être devenu un fit rapidement son chemin sans son esprit : il avait récupéré rapidement de ses blessures et se sentait bien plus fort et alerte qu’avant. Mais, dans ce monde réticent face à la différence, le jeune homme garda le silence. Déjà, ses tatouages et le fait qu’il venait d’un autre monde faisait se tourner vers lui des regards bien désagréables… alors que, souvent, il faisait son possible pour n’apporter que du bien à ceux l’entourant.

Ce changement l’obligea à repenser le chemin qu’il désirait prendre. Pouvait-il encore se permettre de voyager ? Ne risquait-il pas de mettre en péril la vie d’autrui ? Etait-ce un mauvais tour d’Elizabeth Hopkins ? Avait-elle poussé la louve-garou à l’attaquer, ou avait-elle forcé Joseph à se placer sur son chemin ? Jusque-là, il n’avait plus eu de nouvelles de sa cocontractante, mais continuait de se méfier d’elle. Encore sur lui gardait-il leur contrat. Joseph finit par décider qu’il devait s’installer là où il avait été attaqué : ainsi, s’il perdait la tête comme l’avait fait la personne l’ayant mordu, on imputerait cela sur les chiens légendaires du coin. Ce fut une bonne décision : se contrôler les soirs de pleine Lune était atrocement difficile. Il ressentait le besoin imminent de se transformer et d’aller chasser. Mieux valait ne pas être de sortie ces soirs-là… mais, pour couvrir ses arrières, Joseph se devait d’attaquer d’autres fois que pendant la Lune toute ronde. Il ne voulait pas qu’on repère ses habitudes. Finalement, le jeune homme ne resta que sept ans dans les lieux : la venue d’un étranger, les attaques de paysans répétées (bien qu’il faisait son possible pour ne pas les blesser mortellement)… tout cela faisait parler la population. Il quitta alors le poste d’apprenti apothicaire qu’il occupait et partit vers le sud. Là, il trouva un métier qui l’intéressait : celui de bucheron. Le même que son père. Un travail obligeant à vivre loin de tout, où sa force physique pouvait être bien utile – et ne serait pas questionnée.

Joseph vécut jusqu’en 1197 dans ces lieux reculés. Il y épousa la fille cadette d’un collègue, en 1196, après l’avoir rencontrée six ans auparavant. L’américain prit du temps pour avouer son amour et aller demander sa main : il avait peur de ce qu’on pouvait demander de lui et se souvenait de ce qui lui était interdit. Mais son optimisme prit finalement le dessus. Tout allait pour le mieux : ses transformations étaient contrôlées et il n’était pas le premier étranger à s’établir par ici. La demoiselle ainsi que sa famille acceptèrent l’union, qui fut rapidement célébrée. Il n’y eut aucun nuage noir, aucun grondement qui aurait pu indiquer à Joseph que ce qu’il faisait était déplaisant aux yeux d’Elizabeth Hopkins. Parce que ce dernier était certain que la mort de sa dulcinée était dû aux actes de la sorcière à laquelle il appartenait : alors que sa belle était venue lui porter son déjeuner, l’arbre qu’il soupait tomba sur elle, lui brisant le crâne en une dizaine de morceaux. Joseph fut inconsolable, et s’en voulut tant qu’il ne pouvait regarder le père de son épousée dans les yeux. A ce dernier, il donna tous ses biens et repartit sur les routes, fuyant encore une fois le malheur. Même caché entre les arbres, il ne pouvait échapper au regard d’Elizabeth Hopkins…

Ses pas le menèrent à la capitale, Ocrux Cathair, unique ville du Royaume de O’hara. Rapidement il trouva une place en tant que scribe et se mit à côtoyer les hautes personnalités de la société, ici réunies. Il rencontra aussi de nombreux sorciers : ces derniers préparaient une grande manifestation, ayant pour but d’acquérir plus de libertés envers les races non-reconnues du Royaume. Races dont faisait partie Joseph. Mais il ne pouvait pas se permettre de se compromettre avec les révolutionnaires : si jamais ils échouaient et que l’américain avait participé à leur échec, il risquait d’être conduit au bûcher ou de devoir, de nouveau, fuir. Et cette fois, pour sa vie. Après avoir perdu son épouse, tout ce qu’espérait l’ancien soldat était pouvoir vivre en paix, seul dans son infortune. Il était donc hors de question de participer ouvertement aux plans d’attaque des sorciers, bien qu’il les supportait. Et il supportait, surtout, elle, parmi eux tous. Une jolie demoiselle, qui savait le faire sourire, mais dont Joseph ne voulait pas s’approcher, par peur de porter, encore une fois, la mort sur quelqu’un. Mais s’il avait su qu’elle serait exécutée en 1209, des mains des soldats du roi, qui continrent leur rébellion peut-être aurait-il osé l’embrasser ne serait-ce qu’une fois. Encore une fois, la personne qu’il aimait mourrait.

Craignant d’être rattaché aux sorciers qui s’étaient révoltés, Joseph quitte la capitale pour retourner vers les campagnes, et fit bien de le faire : la ville, en ébullition, connut une autre rébellion. Si elle se passait aussi hors d’Ocrux Cathair, les sujets chauds se passaient à l’intérieur de ses murailles. Entendant que les idées portées venaient de nouveaux-arrivants, qui ne juraient que par la démocratie et les libertés personnelles, l’américain se sentit mal. Il était visible qu’il venait d’ailleurs. Risquait-on de s’en prendre à sa vie ? S’éloignant le plus possible du centre des décisions, cherchant à se perdre dans des régions où les nouvelles de la ville ne se répandent que des années après qu’elles soient arrivées, Joseph s’exila à l’est-nord du Royaume de O’Hara. Sur son chemin, il gagna un peu d’argent en tant que saltimbanque. Dans sa précipitation, encore une fois, le châtain avait tout laissé derrière lui. Cela lui permit d’acheter un instrument de musique, le psaltérion, qu’il maîtrisa rapidement. Se faisant barde, attirant les âmes poètes et les enfants, il finit par s’installer en 1210 dans un village où il offrit ses services dans une ferme, apprenant à semer, s’occuper de chevaux, traire les vaches et batifoler dans le foin avec les demoiselles du coin, charmées par son exotisme, qui pourtant faisait si peur à leurs parents. Mais à présent, Joseph refusait l’amour, n’approchant que celles pour qui son cœur ne battait que mollement.

Cette vie sédentaire lui convenait peu. Il avait certes amassé de nombreuses richesses : il n’était pas resté longtemps simple paysan. Sachant lire et écrire, il se mit à tenir les comptes de son employeur et progressa dans la hiérarchie. Il devint l’assistant du médecin du village voisin, qui appréciait ses connaissances. Mais en 1212, Joseph reprit la route, toujours aussi curieux qu’autrefois et plus rassuré par le mouvement que par la sécurité d’avoir une maison et un métier renommé.


Mon pseudonyme est e-b (ethmoid-bone). Je suis du nord de la France, j’ai pour le moment 21 ans et je fais des études en Droit. Je rp depuis plus de cinq ans. L’écriture est mon passe-temps premier. Vient ensuite le dessin, l’étude des symboles et des matières relatives aux finances (le fiscal, l’économie, le fonctionnement des fiches de payes… des trucs très amusant quoi) ainsi que la psychologie. Je lis très peu de romans et autres, ne suit aucune série. On me dit grivois et sournois. What a Face Je suis Rosette à la trace J’ai trouvé le forum via bazzart.


Dernière édition par Mastema Prendergast le Ven 20 Déc - 12:10, édité 13 fois
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Ekaterina Thompson

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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 20:13

BIENVENUUUUUUUUUUUUUUE & bonne chance pour ta fiche  mastema . il faut bien punir 3875117988 
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 20:15

BIENVENUE  I love you I love you I love you I love you mastema . il faut bien punir 425221714 mastema . il faut bien punir 425221714 mastema . il faut bien punir 425221714 mastema . il faut bien punir 425221714 mastema . il faut bien punir 3875117988 mastema . il faut bien punir 3875117988 mastema . il faut bien punir 3875117988 mastema . il faut bien punir 3875117988 mastema . il faut bien punir 2210240283 mastema . il faut bien punir 2210240283 mastema . il faut bien punir 2210240283 mastema . il faut bien punir 47867224 mastema . il faut bien punir 47867224 mastema . il faut bien punir 47867224 mastema . il faut bien punir 1964893769 mastema . il faut bien punir 1964893769 mastema . il faut bien punir 1964893769 mastema . il faut bien punir 2523054544 mastema . il faut bien punir 2523054544 mastema . il faut bien punir 2523054544 mastema . il faut bien punir 1157152611 mastema . il faut bien punir 1157152611 mastema . il faut bien punir 1157152611 mastema . il faut bien punir 3777620744 mastema . il faut bien punir 3777620744 mastema . il faut bien punir 3777620744 mastema . il faut bien punir 1807992959 mastema . il faut bien punir 1807992959 mastema . il faut bien punir 1807992959 mastema . il faut bien punir 4243925032 mastema . il faut bien punir 4243925032 mastema . il faut bien punir 4243925032 mastema . il faut bien punir 2282819748 mastema . il faut bien punir 2282819748 mastema . il faut bien punir 2282819748 mastema . il faut bien punir 3190822881 mastema . il faut bien punir 3190822881 mastema . il faut bien punir 3190822881 mastema . il faut bien punir 3190822881 merci pour ton inscription **pourrais-tu retirer l'initial de ton pseudo s'il te plait ? mastema . il faut bien punir 3875117988 courage pour ta fiche ** si tu as des questions sur l'univers ou un problème ou n'importe quoi, n'hésite surtout pas  mastema . il faut bien punir 2282819748 
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 20:25

Merci pour votre accueil !  mastema . il faut bien punir 4022526933 

Ah, on peut éditer soi-même son pseudonyme. mastema . il faut bien punir 1516848322 Fait.

J'ai une question, tiens. Est-il possible pour un personnage réel de se faire mordre par un loup-garou ? Le champ de la race n'étant que dans la fiche des personnages du royaume, je me le demande. °°
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 20:36

Ouuuuuuuuuh pinaise de merde, un autre membre, je vais muuuurîiiiiiir (a)
EN plus un mec (a) Bienvenue sur le forum  mastema . il faut bien punir 458798719 mastema . il faut bien punir 2210240283 mastema . il faut bien punir 3875117988 Bonne chance pour ta fiche et pour répondre à ta question, c'est effectivement possible de se faire mordre par un loup-garou étant du monde réel Smile
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 20:36

Merci beaucoup pour le changement  mastema . il faut bien punir 47867224 
J'avoue que je ne m'étais même pas posée la question, mais oui, c'est possible je suppose mastema . il faut bien punir 1516848322 Anastasia viendra confirmer, c'est plus son domaine que le mien pour le coup  mastema . il faut bien punir 3875117988

Edit : bon ben, elle a été plus rapide que moi xD
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 20:39

Rapide comme l'éclair (a)
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 21:11

Oui, je viens représenter la gente masculine sur le forum, petit éclair (au chocolat *-*). What a Face Merci pour la réponse, je réfléchirai à la possibilité de faire de mon personnage un chien galeux.  mastema . il faut bien punir 2523054544 Autre question, tiens : quelle est l'équivalent d'une année terrestre dans le livre ? Je sais que les individus prennent un an physiquement en dix ans, mais est-ce que cela veut dire qu'un an sur Terre est égal à dix ans dans le livre ? Cela m'aiderait pour la date de naissance de personnage, à savoir dans quel décennie je le fais naître. ^^' (Oui, je pose beaucoup de questions !) Je ne suis pas certain que mon raisonnement soit le bon.

Par exemple : quelqu'un qui atterrit aujourd'hui dans le livre vient forcément de l'an terrestre 2013. Quelqu'un qui y a atterri en 2010 (année terrestre) y a forcément atterri 30 ans (temps du livre) auparavant ?
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 21:43

Comme je suis celle qui a expliqué cette histoire de vieillissement dans les annexes, j'espère que j'vais réussir à mieux te l'expliquer ici xD
Donc déjà les années se déroulent au même rythme que les nôtres, le même nombre de mois, de jours... Donc un an sur terre = un an dans le monde du livre. Donc pour reprendre ton exemple, une personne qui est arrivée en 2010 est arrivée il y a trois ans et n'a donc physiquement pas changé. Si elle est arrivée à 25 ans, elle n'aurait physiquement 26 ans qu'en 2020 ** Une personne arrivée en 1920 sera là depuis 93 ans, donc elle aura vécu pendant 93 ans dans le livre, mais n'aura pris physiquement que 9 ans.
J'espère que tu comprends mieux ? I love you Sinon je réexpliquerai **
Et si tu as d'autres questions, n'hésite pas mastema . il faut bien punir 3875117988
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 22:03

Oui, je pense que mon cerveau va s'en sortir. (On sent le matheux, hein !)  Razz Merci pour ta réponse ! o/
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 22:45

Si je suis ce que tu as marqué dans ta fiche il y a une erreur (a)
Je peux me tromper, il est tard, j'suis fatiguée, mon cerveau ne compte plus très bien et j'dois t'avouer que j'commence à m'embrouiller moi aussi xD
Mastema est né le 9 septembre 1968 donc 2013 - 1968 = 45 ans. Donc il aurait eu 45 ans dans le monde réel.
S'il est arrivé ici à 23 ans : 1968 + 23 = 1991 donc il est arrivé dans ce monde en 1991.
Donc il est ici depuis : 2013-1991 = 22 ans donc il a pris deux années physiquement.
donc 23 + 2 = 25 ans physiquement (bon d'accord, celle ci j'aurais pu éviter xD) xD
Si tu veux qu'il est 67 ans, il doit être né en 1946 (a)

J'ai l'impression d'être retournée en cours de math, on révise un peu le calcul, ça fait de mal à personne xD
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMar 17 Déc - 23:53

Demandez à quelqu'un souffrant de dyscalculie de faire 3+3 et vous obtiendrez... rien. mastema . il faut bien punir 1666480344 J'ai quand-même passé vingt minutes à calculer un truc faux, quoi.

Je vais te faire aveuglément confiance, donc. Vu que je veux qu'il ait 27 ans physiquement, j'ai paumé 2(0) ans quelque part dans mes calculs, c'est cela ? mastema . il faut bien punir 712894982 
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMer 18 Déc - 0:02

On te pardonne (a) Puis tu as raison de me faire confiance (ou pas, d'ailleurs xD)  mastema . il faut bien punir 1516848322 
Alors si tu veux qu'il ait 27 ans, il y a plusieurs solution, mais tu peux faire qu'il soit arrivé à 25 ans ici donc en 1993 avec les calculs détaillés :
Naissance en 1968 donc 2013 - 1968 = 45 ans. Donc il aurait eu 45 ans dans le monde réel.
Arrivé ici à 25 ans : 1968 + 25 = 1993 donc il est arrivé dans ce monde en 1993.
Donc il est ici depuis : 2013-1993 = 20 ans donc il a pris deux années physiquement. Donc il a 2 + 25 = 27 ans.

Je vérifierai mes calculs demain au cas où, mais ça doit être ça  I love you 
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMer 18 Déc - 17:10

On me pardonne là, mais plus tard dans mon travail on ne me pardonnera pas ! mastema . il faut bien punir 1666480344 Je veux qu'il soit là depuis quarante ans, donc il faut vraiment qu'il soit arrivé à 23 ans et qu'il en ait à présent 27 physiquement, donc je dois le faire naître vers 1950. Et là j'espère ne pas m'être gouré. xD
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMer 18 Déc - 17:24

Alors je suis méga nulle en maths mais, dans le monde réel alors il aurait 63 ans.
1950 -2013 = 63 XD *waaaahouuuh, c'est bien pour ça que je laisse ma poulette gérer cette partie xD*
Physiquement il aurait alors:
23 + 10 x 4 = 63, donc 28 physiquement ? j'ai dû me tromper, bon dieu, je laisse Louise, faire ça xD
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMer 18 Déc - 17:48

Pauvre Anastasia, forcée de faire des maths xD
Donc si j'ai bien compris, ça doit donner ça, dis moi si ça te va maintenant **
donc 2013-40 = 1973.
donc il avait 23 ans en 1973 quand il est arrivé.
40 = 4 années en plus donc 23 + 4 = 27.
1973 - 23 = 1950, il est donc né en 1950, en effet ^^
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMer 18 Déc - 18:20

On se perturbe ensemble, on est masochistes. mastema . il faut bien punir 2927171830 Merci pour votre aide, mes petites araignées velues !  mastema . il faut bien punir 3777620744 (COMMENT CELA, ILS NE SONT PAS BEAUX MES COMPLIMENTS.)
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMer 18 Déc - 20:57

boomshakalaka. non mais j'y crois pas.  mastema . il faut bien punir 1666480344  mastema . il faut bien punir 4281538052 
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyMer 18 Déc - 21:03

Je vais où je veux, mignon Saucisson ! What a Face
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyJeu 19 Déc - 22:14

Mastema Prendergast a écrit:
On se perturbe ensemble, on est masochistes. mastema . il faut bien punir 2927171830 Merci pour votre aide, mes petites araignées velues !  mastema . il faut bien punir 3777620744 (COMMENT CELA, ILS NE SONT PAS BEAUX MES COMPLIMENTS.)
C'est quoi ce compliment qui a certainement tué Anastasia ?  mastema . il faut bien punir 1516848322 ne parle jamais d'araignées (a) tout ce que tu veux, mais pas les araignées xD

Le début de ton histoire  mastema . il faut bien punir 3777620744 mastema . il faut bien punir 959916117 
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyVen 20 Déc - 9:49

Les araignées sont une de mes formes de vie favorite ! Et plus elles sont grosses et velues, mieux c'est !  mastema . il faut bien punir 3777620744 La prochaine fois je vous appellerai mes mignonnes vipères du Gabon ou mes mantes religieuses aux yeux brillants, alors. *-*

Ravi que le début t'ait plu ! J'ai rajouté la fin, c'est certes un peu long mais le besoin de faire ainsi était là. mastema . il faut bien punir 732670843 Je n'ai plus qu'à compléter le reste (pas grand-chose, quoi) et je passerai à la validation ! *o*
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyVen 20 Déc - 11:33

et moi j'ai horriblement peur des araignées mastema . il faut bien punir 1516848322 Je préfère ces surnoms là, du moment que le mot araignée n'est pas prononcé  mastema . il faut bien punir 1666480344 
J'aime les longues fiches de présentation bien écrites comme ça  mastema . il faut bien punir 3875117988 En plus tu as bien cerné les différents événements, tu les inclus à ton histoire, bref, j'adore  mastema . il faut bien punir 1666480344 et c'est triste  mastema . il faut bien punir 544501038 
Courage pour les quelques petites choses qui te restent à faire  I love you 
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyVen 20 Déc - 12:15

Ravi que cela t'ai plu malgré la tristesse des événements (mais il fallait bien un peu de dramatisme dans sa vie) ! What a Face Vous avez fait des annexes, le but est qu'elles servent ! :p Et fiche terminée. *-*
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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyVen 20 Déc - 16:44

félicitation, tu es validé(e) mastema . il faut bien punir 739847443

Bienvenue au royaume
Yo yo yo, tu vas où le rigolo ? Minute papillon hein. J'ai deux trois mots à t'dire avant que tu foutes le bordel dans MON royaume ? mastema . il faut bien punir 85743678 Alors premièrement ... euh, tu n'aurais pas vu ma barre de chocolat ? mastema . il faut bien punir 3103576728 Non, bon ok. Comment ça, ça commence mal ? Rolling Eyes Je suis sérieuse ! J'en étais où ? ... Ah oui ! Deuxièmement, si tu es perdu, je t'invite *ouais, bon on m'a forcé à prononcer ce mot mastema . il faut bien punir 2233603237 * à lire le le guide du nouveau Il y a tout pour éclairer ta p'tite lanterne ! mastema . il faut bien punir 751265240 Troisièmement bien ... tu peux nous rejoindre au flood et faire des jeux et pourquoi pas venir dans mon lit ... ouais bah quoi ? C'est sur le même chemin, autant en profiter mastema . il faut bien punir 2523054544 En plus j'aime bien les p'tits nouveaux ... si innocents et délicats comme des pétales de fleurs ! Miam mastema . il faut bien punir 2282819748 Bref, éclates toi sur le forum !!! mastema . il faut bien punir 3875117988

Ce que je pense de ton histoiredésolée je n'avais pas vu que tu avais terminé ta fiche tout à l'heure I love you Tout me semble correct, Anastasia viendra me corriger si ce n'est pas le cas, surtout pour ce qui concerne le fait qu'il soit loup garou, parce que j'y connais pas grand chose, c'est elle qui s'est occupée de ça et qui s'y connait le mieux mastema . il faut bien punir 3875117988 je le répète mais j'adore ton histoire, tous les éléments que tu y intègres, ta façon d'écrire  mastema . il faut bien punir 425221714 
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Mastema Prendergast

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MessageSujet: Re: mastema . il faut bien punir   mastema . il faut bien punir EmptyVen 20 Déc - 22:47

Vu que j'ai eu une fin de journée chargée, l'attente de la validation ne fut pas un souci ! ^^ Merci pour ton passage et le compliment, j'espère que tout ira bien aussi pour Anastasia !  mastema . il faut bien punir 4101361473 
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